Ollivanders

* Josh remercia le vendeur avant de dire un dernier au revoir à son professeur il déposa les vingt galions sur le bureau et fut flatter du commentaire que le vendeur lui dit, peut-être que lui aussi deviendrait un grand sorcier comme son prédécesseur, il finit par sortir la baguette accrocher à la ceinture il avait fier allure, en poussant la porte les fameuses petites cloches sonnèrent et Josh finit par être dehors, il se revira pour Voir Sarah au travers de la vitrine et finalement il se dirigea vers l'animalerie magique pour avoir un petit compagnons dans sa vie, les nuages était gris et jamais auparavant Josh n'avait vue un endroit si sombre, contrôlé par il ne savait trop quoi bref il se concentra a faire ses affaires et demander de l'aide a personne ... *

Çela fesit beaucoup de temps que j'étais à Poudlard, et je n'avait pas encore de baguette, bien sûr, j'en possèdait une lorsque j'avait fait mes études, mais aujourd'hui, elle ne fonctionnait plus comme je le voulais.. Donc après le travaille, je me dirigea au chemin de traverses, rendre visite à ce cher Ollivanders pour une deuxième fois de ma vie.. Lorsque j'arriva, je constatais que absolument rien n'avait changer du temps ou j'était allée, il y a dix ans, lorsque j'avais onze ans. Au même moment ou je poussais la porte, un jeune homme que j'avais remarqué dans les corridors, sortait. Je rentrais dans le magasin de baguettes et m'adressa au vendeur qui était un peu plus loin dans les rangées d'inombrables baguettes.

- Bonjour Monsieur. J'aimerais une baguette je vous pris.

Une jeune femme, j'aurais dit la vingtaine à peu de choses près, entra dans la boutique. Évidement, je n'étais pas là à ce moment. L'étage était véritablement un foutoir ! Je n'en croyais pas mes yeux... je fis une moue avant de prendre ma superbe baguette en bois de cerisier, et fit une petite formule d'incantation... tout ce mit à sa place, en pile, sur les étagères, contre les murs, ne gênant plus le passage. Satisfait de mon minuscule tour, je descendis en trombe au rez-de-chaussé. Je saluait la sorcière, en écoutant sa demande... hum...

"-Attendez voir ! Je dois avoir une... oui... mais je... ah ! Vous savez, ici c'est un bazar permanent haha !"

Je cherchais dans toute mes piles, avant d'enfin trouver un carton rouge pourpre. Satisfait de ma trouvaille, qui était évidement celle que je recherchais, j'ouvris le couvercle, et montrais la baguette. Je lui tendis :

"-Une magnifique baguette. Bois de Saul, dont la poignée est en fibre de laine... très doux, soyeux, et tendance. Son composant est une plume d'Hyppogriffe d'Asie, de rares et puissants spécimens."

Il regarda la jeune femme, apparemment apparentée à poudlard par son insigne, en attendant la vérification de la baguette... je ne savais pas pourquoi mais je sentais que c'était la bonne !

Bizarrement, Arthur à l'approche de la baguette n'avait pas fait de geste et celle-ci était resté sur le comptoir sans qu'il ne la bouge, pour vraie dire il ne l'avait même pas effleuré. Il se demandait pourquoi il devrait avoir à nouveau la même baguette alors qu'il l'avait brisé pour, justement, se débarrasser de son passé "sorcier bon", comme l'avait dit ce mangemort est abusé par le manque de cellule grise, comme il l'avait surnommé un soir. De plus, il aimait différé de l'habituel, donc une nouvelle sorte de baguette était mieux que bien, n'est-ce pas ? Il finit donc par mettre le bas de ses manches contre ses mains pour ne pas avoir à toucher la touche spéciale du sorcier et la repoussa en l'envoyant vers le vendeur. Ne tardant pas à en demander une différente.

- Vous pensez que je viens vous demander une nouvelle baguette pour avoir l'ancienne ? J'ai cessé d'être un abrutit à mes onze ans, vous savez ?

S'était étrange, en effet, puisque quelques minutes plus tôt il avait accepté la baguette, mais Arthur était quelqu'un de plutôt étrange, et ne faisait rien comme les autres. Donc il attendit.

Le vieillard me salua puis chercha dans sa pagaille de baguettes, éparpillés un peu partout, sans trouver ce qu'il cherchait. Il s'en alla puis revint avec une boîte d'un rouge profond. Il en sortit une merveilleuse baguette et me l'a tendit. Je lui pris des mains, et l'effet que m'a fait cette baguette était semblable à celle qu'il y a dix ans. C'était la bonne, il n'y avait pas de doutes !

Je regarda le vieux monsieur, et comme moi, il avait l'air de voir, que cette baguette était la bonne. Il me sourit, je lui rendit la pareille.

- C'est la bonne. J'en suis sûre.

Je le regardais, en attendant sa réponse, et moi, je regardais ma nouvelle baguette.

Une baguette cassée. Que pouvait il arriver de plus à la directrice des jaunes et noir ? Rien absolument rien. Elle l'avait pleurée longtemps mais le temps était venu d'arrêter de pleurer ces 7 années de bons et loyaux services et de se remettre sur la route magique. Direction Ollivanders pour la troisième fois de sa vie. La première fois pour elle, elle n'oublierai jamais ce souvenir, cette sensation. La deuxième fois pour sa sœur qui semblait avoir ressentit elle aussi cette sensation. Et la troisième fois avait lieu maintenant. Elle avait les restes de son ancienne baguette dans sa poche de manteau afin qu'elle l'accompagne une dernière fois, avant qu'une autre prenne sa place. Oh oui, elle accordait beaucoup (trop) d'importance à sa baguette mais elle a toujours entendu dire que c'était la meilleure amie du sorcier. Et puis, cette outil l'avait accompagnée pendant ces 7 années d'études à Poudlard et ça représentait une des plus belle partie de sa vie. Elle entra dans la boutique et fit tinter une cloche. Pas besoin d'attendre, Mr Ollivanders était déjà présent, occupé avec une autre jeune femme. Elle se cala donc dans un coin de la boutique, attendant son tour patiemment, en était sûre pourtant que le célèbre vendeur l'avait remarquée.

Je le fixais depuis déjà quelques minutes, et voyais qu'il n'avait pas encore manié sa baguette. Il peut se dépêcher ? Je n'ai pas que ça à faire ! D'autres clients m'attendent ! Comme s'il avait entendu mes pensées, il repoussa la baguette et je la repris dans la volée. Mais...Mais que fait-il ?!

- Vous pensez que je viens vous demander une nouvelle baguette pour avoir l'ancienne ? J'ai cessé d'être un abrutit à mes onze ans, vous savez ?

Je serra les dents, mais n'ajoutais rien de plus. De toutes façons, le client est roi ! Même si ce sale type commençait à me taper sur les nerfs. Je tâchais de garder mon calme, et partis rapidement chercher une autre baguette...Qu'on en finisse.

Je reviens ensuite vers lui, la baguette dans les mains.

-24 centimètres, Bois d'Houx, et contient une larme de centaure...C'est une des seules que je possède avec ce composant. Cette fois-ci, ayez au moins la politesse de me donner votre réponse correctement ? fis-je avec un sourire ironique.

Après l'avoir laissé seul, je partis m'occuper de la jeune femme à qui j'avais donné une baguette. En voyant son air de satisfaction, je ne pu m'empêcher de sourire. Et voilà !

-C'est parfait Mademoiselle ! J'espère que vous partagerez de nombreux moments ensemble ! Cela fera 20 Gallions, s'il vous plaît.

Tout en attendant qu'elle cherche dans sa petite bourse, je partis rejoindre une nouvelle cliente, entrée dans la boutique. Mais...Oh ! Une Directrice de Poudlard ! Voyons que je me rappelle de son nom...hum...

-Rebecca Mckinley Stewart ! m'écriais-je auprès d'elle. Que nous vaut l'honneur de vous avoir ici ? Il me semble vous avoir vu il n'y a pas longtemps entre nos murs, mais vous étiez accompagnée...

Je me gratta la tête, gêné. Peut-être ne supportait-elle pas que l'on parle de sa vie privée.

-Vous désirez une nouvelle baguette ?

On aurait dit que l'échange entre un certain client et monsieur Ollivanders ne se déroulait pas dans les meilleurs termes. Il semblait aussi que Rebecca avait déjà apperçu à Poudlard l'homme qui s'agaçait auprès du vendeur mais le voyant de dos, elle ne pouvait être sure de rien. Il s'adressa ensuite à une autre jeune femme que Rebecca ne conaissait pas. Elle avait beau être directrice de maison, elle ne pouvait pas connaître tout le monde. Elle était en train de repenser à sa petite soeur qui s'était émerveillé, il y a quelques mois devant toutes ses petites boites. Le vendeur la tira de sa rêverie. Il avait l'air de se souvenir d'elle, elle lui sourit, toujours aimable pour essayer de le changer de son quotidien qui ne devait pas être rose tous les jours.

- Bonjour monsieur Ollivanders ! Eh bien, j'ai cassé ma baguette..

On aurait dit une petite fille rentrant pour la première fois chez Honeydukes. Ensuite vint l'évoquation de sa baguette cassée et ne voulant pas s'attarder sur le sujet, elle continua sur sa lancée

- Longue histoire.. Enfin bref, je suis venue il n'y a pas longtemps avec ma petite soeur en effet, qu'elle bonne mémoire avez vous là monsieur !

Il était vrai que ce vendeur devait être le plus connu et le plus respectable de tous les temps. Il se souvenait de chaque baguette qu'il avait vendue ainsi que de leur propriétaire.

- Oui, je voudrais une nouvelle baguette s'il vous plait.

Phénix entra au chemin de traverse.

Il n’y avait quasiment personne qui flanait dans les boutiques.

Il venait afin d’acheter une baguette magique. Il ne se le pardonnait pas, car sa baguette avait cassé.

Casser sa baguette magique alors que le monde de la magie était en guerre : enfin guerre…

En plus il l'avait cassé pour une raison entièrement stupide, et puis cela n'était pas si mal finalement cela lui permettrait d'enterrer définitivement son passé.

Il entra ensuite dans la boutique de Olivander

Il attendit que Olivander vienne...

Les yeux de Lysandre admirait déjà depuis un long moment la vitrine de l'animalerie magique lorsqu'il s'apperçut qu'il lui restait que très peu de temps avant de rentrer. Il ne lui manquait plus qu'une baguette et il aurait enfin tous son matériel pour entamer sa première année à Poudlard.
Bien entendu, il était fort impatient de s'acheter une digne partenaire de magie mais la boutique du célèbre marchand de baguettes Olivander était toujours bondé. Lys' était déjà passé plusieurs fois devant la boutique en soufflant à chaque fois lorsqu'il voyait la longue file qu'il fallait y faire pour être servit.

Cette fois-ci, le jeune Scamander ne pouvait plus faire marche arrière, il lui fallait une baguette et bientôt lui et son frère devrait être rentré. Lysandre entra dans la boutique et se plaça derrière les autres clients, en face du comptoir. Ses yeux émerveillés essayaient d'évaluer le nombre astronomique de baguettes qui pouvait être stockée dans cette petite pièce ronde. Puis, il fut interrompu dans sa rêverie par l'arrivée du vendeur. Un client sortit, la file se mit à avancer et Lysandre était à un pas de moins de sa baguette, à présent.

J'hochais la tête, voulant compatir avec cette pauvre Directrice...Casser une baguette, quelle tragédie !

-Ne vous en faites pas, je vous en emmène une toute neuve, toute fraîche rien que pour vous ! lui fis-je avec un grand sourire.

Je partis rapidement vers ma réserve chercher une baguette digne de ce nom pour une des Directrice de Poudlard...Une qui lui conviendrait...D'après ce que je sais...Ah ! Celle-ci, peut-être...? Je pris la fameuse boîte et l'apporta aussitôt à ma cliente, que je ne voulais pas faire attendre encore plus longtemps.

-Baguette en bois de Prunellier, contient un ventricule de dragon et mesure 23,8 centimètres...J'espère qu'elle vous conviendra !

Assez gêné sur le coup, je lui tendis la boîte, puis la laissa quelques instants pour la laisser l'essayer en paix, afin de m'occuper d'autres clients qui attendaient leur tour patiemment. Je me dirigea vers le suivant, puis l'examina longuement. Un homme, un adulte...Avait-il lui aussi cassé sa baguette ? Sans doute, puisqu'il avait l'air trop expérimenté pour que ce soit sa toute première fois...

-Hum...Pour vous, je vois quelque chose comme...

Je me gratta la tête, puis partis quelques secondes afin de chercher la baguette qui me semblait convenir. Je lui tendis avec un petit sourire, cependant pas très convaincu...Je me trompais souvent, après tout.

-Bois de Frêne, avec un crin de licorne...26 centimètres ! Je vous laisse vérifier, je reviens dans un instant...

Cette fois-ci, je me dirigeais donc vers un jeune Elève qui attendait depuis quelques minutes. Je mis beaucoup plus de temps à l'examiner sous tous les angles. Ses capacités furent difficile à évaluer sur le coup, j'hésitais entre deux...Finalement, je suis parti chercher une boîte, puis lui tendis maladroitement une baguette.

-Bois d'Erable, elle contient un crin de Sombral. Mesure 23 centimètres...

Le vendeur arriva, Phénix lui dit bonjour poliment.

Il montra une baguette.

-Bois de Frêne, avec un crin de licorne...26 centimètres ! Je vous laisse vérifier, je reviens dans un instant...

Phénix prit la baguette sans un mot de remerciement, il contempla quelques instant la baguette puis l'agita.

Une rangée entière de cartons contenant des baguettes tombèrent au sol.

Lys remercia le vendeur et contempla quelques instants la boîte dans laquelle était rangée la baguette que lui proposait le marchand. Celle-ci étaient décorées de symboles et d'inscription en filigranes d'or. Cela n'avait pas beaucoup de valeur vu le peu de quantité d'or qu'il y était réellement incrusté mais cela rendait néanmoins la boîte encore plus belle qu'elle ne l'était.

Au bas du petit coffret de carton, Lys' lisait les quelques mots qui venaient de s'écrire par magie:

Infatiguable - Résistant - Aventurier - Etonnant - Elegant - Têtu - Maladroit

Lysandre ne savait pas trop comment le prendre ...Est-ce que cette baguette était en train de le scanner ? Ou bien était-ce là le caractère de l'idéal futur porteur de la baguette ?
Alors que Lys' n'avait toujours pas ouvert la boîte, il lui sembla entendre le vendeur répondre à ses questions avant même de les poser, il semblait que ce soit la deuxième possibilité...Ce marchand devait vraiment avoir beaucoup d'expérience dans ce métier.

Lysandre prit la baguette entre les mains. Il vit un éclat de couleur verte longer le long du bois lorsqu'il pencha le manche de la baguette vers la lumière. Le jeune garçon souriait les éclats devenaient de plus en plus fort à mesure qu'il tournait rapidement la baguette et lorsqu'il se mit à la pointer vers les feuilles de parchemins étalées sur le comptoir, une myriade de petits papillons violets et verts s'échappa alors de nulle part.

- Wahou ...ouais, c'est celle-là que je veux.

Le jeune garçon sortit de sa poche 10 gallions qu'il présenta au vendeur et il repartit avec sa baguette magique, rangée dans sa boîte. Sur le petit coffret en carton, en dessous des adjectifs en lettres d'or en filigrannes, venait de s'écrire le nom de Lysandre Scamander.

Je tenais la main de mon papa lorsque j'entrais dans la boutique que tenais Ollivender, un fabricant de baguette que j'avais déjà vu puisque j'étais déjà venu dans la boutique avec mon papa lorsque j'avais sept ans car sa baguette était usé et elle avait grand besoin d'être changé. Je me souvint très bien que je n'étais pas vraiment à l'aise en face de cet homme qui m'avais fait une drôle d'impression. Se n'était pas que je ne l'aimais pas mais je le trouvais étrange et distant lorsqu'il s'adressait à mon papa. Pourtant aujourd'hui je me sentais envahit par une force que je n'avais pas lors de ma dernière visite. Je m'avançais vers le comptoir en serrant un peu plus la main de mon papa dans la mienne. Il m'avais dit que s'était à moi de prendre la parole pour m'adresser à Ollivenders. Je pris donc mon courage à deux mains et je pris la parole d'une fois faible mais tout de même assez forte pour me faire entendre :

"Bonjour Monsieur, je voudrais acheter ma première baguette s'il vous plais."

Je jetais un coup d'oeil vers le visage de mon papa et je vis son sourire qui me fis du bien et je ne pus m'empêcher de sourire à mon tour.

J'étais en train d'inspecter mes petites chérie, mes baguettes adoré quand, j'attendis un client faire tinter la sonnette. Me dirigeant vers l'avant de mon magasins, je pris mes instrument de mesure...

Bienvenue ! Ah, je vois que vous êtes certainement une nouvelle élève de Poudlard ! Patientez quelques instants s'il vous plait...

Je tirais ma propre baguette et anima les nombreux fils qu'il était présent sur mon comptoir. Puis, d'un coup de baguette, ils entourèrent la jeune fille à divers endroits... Je me penchais alors et d'un regard expert, je prenais rapidement des mesures sur la baguette qui pourrait correspondre...

Accio Baguette RC15...

Je tendis alors l'écrin -qui venait de se poser tout doucement dans ma main- vers la futur élève puis je reculai d'un pas...

Essaye la ! Elle est constituée de rose et de cheveux de vélanes... Je peux t'affirmer qu'elle mesure exactement 15 centimètre !

Le vendeur me regarda un petit moment avant de se servir de sa baguette pour enrouler autour de moi des bouts de ficelles qui servaient à prendre des messures diverses. J'en avaient autour de la tête, de la poitrine, du poignet gauche puique s'était de cette main que je me servais et à d'autre endroit que je trouvais étrange, en effet, je me demandais bien en quoi la messure de ma cheville allait être utile pour trouver la baguette qui me conviendrait le plus mais bon, je n'étais pas la spécialiste et je préférais laisser le vendeur faire son travail. Au bout d'un moment, Olivender fit venir une baguette jusqu'à lui grâce au sortilège d'attraction que je connaissais au point de vu téorique pour mon papa mais je l'avais déjà pratiquée un soir avec la baguette de ma maman pendant que tous dormaient et ça, personne ne le sait et se n'est pas plus mal car je me serais fait disputer si mes parents l'avaient appris. La baguette était en bois de rose et contenait des cheveux de vélanes, une créature mystérieuse que je n'appréciais que très moyennement. Je m'empara de la baguette et fit un geste avec comme mon papa avait fait lorsqu'il était venu en ma compagnie chercher sa baguette, bois de cédre contenant un ventricule de dragon et messurant 23 cm. D'après Olivender elle était fragile. Le geste que je venais d'effectué était inutile parce que rien ne se passa. Je tendis la baguette à Olivender et j'attendis qu'il m'en mette une autre dans les main. Je savais que touver une baguette pouvait prendre du temps et la patience faisait partie intégrante en moi.

Celle-ci ? Non ! Bien sûr que non ! Hum... celle là non plus, trop lourde, oui, trop lourde. Hé bien, cette petite devait avoir un si fort caractère que mes baguettes ne s'y retrouvaient plus ! Depuis combien de temps exerce-je ce métier ? Je ne compte plus, et rares sont ceux qui me donnent tant de fils à retordre pour trouver la baguette parfaite ! Cependant, c'est amusant ! Je me croirais encore dans mes études de magie supérieure... où d'ailleurs, je n'ai jamais rien fichu, mais bon, ceci est une autre histoire n'est il pas ? Bien... Alors, Blonde, les yeux bleus, une taille moyenne, une carrure tout à fait atypique... hum, celle ci devrait être un peu plus satisfaisante ! Je pris un de mes nombreux escabeaux présents dans la salle, le plaça devant une étagère grande comme la Tour de Londres et je grimpais à l'assaut d'une de ces fameuses baguettes qui faisaient ma réputation. J'en attrapais une, et manquais de tomber d'au moins 3 mètres ! Expérience du terrain oblige, je me ressaisis à une des barres métalliques qui séparaient les étagères. Ah ! Que de sport ! Je m'approchais, l'air de rien, de la jeune fille, et lui tendit la baguette :

"-Bois d'If, poil de Licorne, résistante, légère, et finement taillée, elle vous scie à merveille miss... la taille ? Je dirai approximativement 21 centimètres... essayez la, essayez la !"

De l'entrain ? Moi ? Oh... oui ! Voir une baguette se faire utiliser pour la première fois c'était toujours... du bonheur. EN fait, cela provoquait en moi un tel sentiment qu'il mettait difficile de m'endormir le soir... vous vous rendez compte ? Ma vie n'est pas un long fleuve tranquille comme ils disent ! Haha !

Olivender me pris la baguette des mains avant de repartir dans la boutique en parcourant trois quatre rangées tout en bougeant légèrement les lèvres. Il finit tout de même par s'arrêter devant un petit escabeau sur lequel il monta pour allé chercher une petite boite légèrement plus fine que celle qu'il m'avait donner lors de mon entrée dans le magasin. Il en sortit une baguette des plus fine, elle était magnifique avec sa couleur clair légérement bruni comme si elle était vielle mais d'après la réaction d'Olivender, elle ne semblait pas être sortie souvent de sa boite et peut être que s'était la toute première fois qu'elle voyait la lumière du soleil. Je pris la baguette avec beaucoup de précaution pour ne pas la casser. Je jetais un regard vers mon papa mais il était absober par une boite qui se trouvait devant lui. Je me tournais de nouveau vers Olivender avant de faire un geste avec le poignée. La baguette suivait parfaitement le mouvement de ma main et j'avais l'impression qu'elle en était le prolongement directe. Lorsque j'arrêtais mon mouvement, de petite étincelle dorée sortie de la baguette et je sentis une chaleur assez agréable parcourir mon corps. Je savais que je venais de trouver ma baguette. Je regardais tour à tour Olivender, mon papa et la baguette. Une question me turlupinais. Je finis par prendre la parole :

"excusez moi Monsieur Olivender mais pourquoi cette baguette est elle taillée aussi finement?"

Si cette baguette était mienne j'avais envie de savoir se qu'il en retournait et si cela avait un sens quelconque ou si s'était par azard qu'elle était ainsi.

Là ! Là ! C'était ça ! Je le savais, bien entendu ! C'était ça la solution ! Oui ! La baguette ne va au sorcier que si le sorcier possède les aptitudes pour la contrôler ! Exactement ! Ah ! Nom de Dieu, après des années, et des années de métier, j'en apprends encore, n'est ce pas fascinant ? Ah ! j'en oublie certaines bonnes manières ! Je regardais alors la jeune fille, comme a-t-elle dit qu'elle s’appelait ? elle l'a dit au moins ? Bah, qu'importe, elle possède une baguette, c'est le principal !

"-Miss, félicitation ! Vous voilà munie de votre première, et j'espère unique, baguette ! Prenez en soin comme si votre vie en dépendait... il est arrivé de telles choses aux sorciers qui n'ont pas fait attention à la leur... je ne souhaite pas que cela vous arrive, vous semblez si pure !"

Je lui souriais avant de repartir dans mon arrière boutique, attrapant d'un geste pas gracieux d'un poil un gros livre, bien poussiéreux que je n'avais pas du ouvrir depuis... oh, la vente de Dorixus ? Hahaha ! Je l'ouvrais tout en me ramenant vers ma jeune cliente :

"-Pourquoi si finement ? Pour que sa spiritualité soit au plus haut. Une baguette vit en toi, tu ressens chacun de ses mouvements et elle ressent les tiens, tu n'es plus seule, vous êtes deux... seulement, un corps si... mort ne peut pas donner signe de vie sans rien, il faut la petite touche de mystère. tout réside dans la façon de la tailler... une bonne baguette n'est pas forcément fine ( Il s'approcha et susurra tout bas ) il n'y a qu'à voir la baguette d'Harry Potter (puis reprit un ton normal) , mais plus elle l'est plus tu ressentiras sa présence, tu la croiras toujours là, avec toi... dans ton coeur. La baguette est le reflet de l'âme d'un sorcier, si elle est fine c'est que tu es pure, si elle est épaisse, c'est que ton passé, ton présent, ou ton avenir, est, ou sera, très noir... tu sais, voilà longtemps que je fabrique des baguettes et je dois dire que c'est la première que je fais aussi fine.. d'habitude, elles craquent avant, tu as un bois très résistant, donc n'est pas peur de la manier, elle ne se cassera pas facilement, fais y attention et elle te suivra toute ta longue vie... "

LA baguette était un art très mystérieux et pourtant... à la portée de tous.